REGLEMENT
INTERIEUR
DE
L’ECOLE MATERNELLE LE CORDOUAN 2019 - 2020
Le règlement
intérieur des écoles maternelles et élémentaires publiques de Seine-Saint-Denis
tient compte des dispositions du règlement type départementale.
Il est approuvé ou
modifié chaque année par le conseil d’école. Il est affiché dans l’école et
remis aux parents d’élèves pour approbation et pour signature. Le directeur
s’assure que chaque parent en a pris connaissance.
I. ADMISSION ET INSCRIPTION |
1.
Dispositions communes
Tous les parents exercent légalement
l’autorité parentale (sauf décision judiciaire contraire) sur la personne de
l’enfant et sont également responsables. L’éducation nationale doit entretenir
avec ces deux parents des relations de même nature et doit leur faire parvenir
les mêmes informations.
Le maire délivre le certificat
d’inscription. Ce document indique, lorsque la commune dispose de plusieurs
écoles publiques, celle que l’enfant doit fréquenter. L’inscription est enregistrée
par le directeur de l’école.
Le directeur
prononce l’admission.
En cas de changement d’école, un
certificat de radiation émanant de l’école d’origine est exigé. Ce certificat
indique la dernière classe fréquentée. Le carnet de suivi doit accompagner
l’élève dans les différentes écoles fréquentées (article D321-10 du code de
l’éducation).
Tout changement de
situation de famille devra être signalé à la directrice de l’école et à
l’enseignante. Tout changement d’adresse ou de téléphone doit être immédiatement
signalé par écrit.
Dans le cas où
l’un des parents serait déchu de son autorité parentale, il appartient aux
parents de fournir la copie du jugement fixant l’exercice de l’autorité
parentale et la résidence habituelle de l’enfant.
2.
Admission à l’école maternelle
Article D113-1 du
code de l’éducation Les enfants qui ont atteint l’âge de deux ans au jour de la
rentrée scolaire peuvent être admis dans les écoles et les classes maternelles
dans la limite des places disponibles. Ils y sont scolarisés jusqu’à la rentrée
scolaire de l’année civile au cours de laquelle ils atteignent l’âge de six
ans, âge de la scolarité obligatoire.
L’admission de ces élèves doit être compatible
avec la vie collective en milieu scolaire.
Lorsqu’un enfant de six ans est maintenu
exceptionnellement une année supplémentaire à l’école maternelle après avis de
la commission compétente, il est alors soumis aux mêmes obligations que les
enfants de son âge.
La circulaire 2012-202 du 18 décembre 2012
encadre la scolarisation des enfants de moins de trois ans.
3.
Les élèves à besoins particuliers
3.1. Scolarisation
des élèves en difficulté
Les actions conduites au sein de la classe
ont notamment pour objectif de prévenir et de réduire les difficultés que les
élèves peuvent rencontrer.
Les aides spécialisées peuvent intervenir
à tout moment de la scolarité à l’école primaire. Elles permettent de remédier
à des difficultés résistant aux aides apportées par le maître. Elles visent
également à prévenir leur apparition ou leur persistance chez des élèves dont
certaines difficultés ont été repérées.
3.2. Scolarisation
des élèves allophones nouvellement arrivés
Une attention
particulière est portée sur ces élèves pour qu’ils acquièrent tous les outils
de la langue française.
3.3.Scolarisation des
élèves en situation de handicap
L’admission des
enfants handicapés, à l’école maternelle, est favorisée en application à la loi
n°2005-102 du 11 février 2005.
Tout enfant présentant un handicap doit
être inscrit dans l’école la plus proche de son domicile. Celle-ci constitue
son école de référence quand il est scolarisé dans un autre établissement. Le
parcours de formation de l’élève s’effectue en priorité en milieu scolaire
ordinaire. Les modalités de déroulement de sa scolarité sont précisées dans son
projet personnalisé de scolarisation qui définit les conditions de la
scolarité, les actions pédagogiques, psychologiques, éducatives, sociales,
médicales et paramédicales mises en œuvre.
Des enseignants référents et des
conseillers à la scolarisation participent aux côtés des équipes pédagogiques à
l’évaluation des besoins des élèves handicapés et contribuent, en réunissant
l’équipe de suivi de la scolarité, à la mise en œuvre et à l’ajustement du
projet personnalisé de scolarisation. Dans la situation où les responsables
légaux n’accepteraient pas d’engager une saisine de la maison départementale
des personnes handicapées (MDPH), le délai de quatre mois prévu par l’article
D351-8 du code de l’éducation court à compter de l’information des familles les
invitant à cette démarche avant que le directeur académique n’informe la MDPH.
3.4.Scolarisation des enfants atteints
de troubles de la santé évoluant sur une longue période ou accidentés.
Tout enfant
atteint de maladie chronique, d’intolérance ou d’allergie alimentaire (à
l’exclusion des maladies aigues) nécessitant des dispositions de scolarité
particulières doit pouvoir fréquenter l’école. Il est admis à l’école
maternelle, après avis du médecin scolaire dans les conditions précisées par la
circulaire n°2003-93 du 11 juin 2003. Un projet d’accueil individualisé (PAI)
sera établi.
II. FREQUENTATION, OBLIGATION SCOLAIRE ET
ORGANISATION DU TEMPS SCOLAIRE |
1.
A l’école maternelle
L’inscription à
l’école maternelle implique l’engagement, pour la famille, d’une fréquentation
assidue, dès la rentrée scolaire et quel que soit l’âge de l’enfant. Les
absences sont consignées chaque demi-journée dans un registre d’appel, tenu par
l’enseignante. En cas d’absence de leur enfant, les parents doivent faire
connaître dans les plus brefs délais les motifs au directeur et à
l’enseignante. S’il s’agit d’une absence prévisible, cette information doit
être donnée préalablement. Les parents doivent fournir un justificatif de
l’absence de leur enfant.
La loi pour l’école de la confiance prévoit la
mise en œuvre de l’instruction obligatoire à 3 ans à partir de la rentrée
scolaire 2019 et le contrôle de l’assiduité sur l’ensemble du temps scolaire qui en découle. Il convient
d’informer les familles des enfants concernés et les directeurs d’école de la
possibilité exceptionnelle d’aménagement du temps scolaire des heures de classe
de l’après-midi.
Un enfant de PS
qui ne fréquente pas l’école l’après-midi sans dérogation est absent et doit
être noté comme absent sur le cahier d’appel, un relevé de l’absentéisme précis
est nécessaire, il engage la responsabilité du maître de la classe et du
directeur. Il relève des dispositions de non- fréquentation scolaire.
2.
Organisation du temps scolaire
L’enseignement est dispensé dans le cadre
d’une semaine de neuf demi-journées, incluant le mercredi matin et
correspondant à 24 heures d’enseignement hebdomadaire.
Les horaires de l’école :
·
Matin : de
8H30 à 11H30
·
Après-midi :
de 13H30 à 16H30
Les apprentissages ont lieu le lundi, le mardi, le
jeudi et le vendredi.
Les portes de
l’école sont ouvertes à 8H20 et à 13H20, pour un temps d’accueil de 10 minutes,
seulement. Tous les élèves sont accueillis dans la classe. L’enfant doit être accompagné jusqu’à la porte de la classe. A
11h30 et à 16h30, les enfants sont remis à l’un des parents et aux personnes
autorisées sous réserve de présentation d’une pièce d’identité. Si personne ne
se présente, les enfants seront sous la responsabilité du centre de loisirs à
partir de 11h40 et de 16h40. Ouverture des portes pour les PS qui reviennent à
15h.
3.
Les activités pédagogiques complémentaires
Les activités
pédagogiques complémentaires (APC) viennent s’ajouter aux 24 heures
d’enseignement hebdomadaires, à raison de 36 heures annuelles. Elles sont organisées
et assurées par les enseignantes et se déroulent en groupes restreints.
Il peut s’agir
d’une aide aux élèves rencontrant des difficultés dans le cadre des
apprentissages, d’un accompagnement du travail des élèves ou d’une activité
prévue par le projet d’école.
Le projet des APC
précise l’organisation hebdomadaire des activités, leur répartition annuelle et
leur contenu.
III. VIE SCOLAIRE |
1.
Principe constitutionnel de laïcité
La vie scolaire
est régie par la circulaire n°2009-068 du 20 mai 2009, rappelant que l’école
est un lieu où s’affirme l’égale dignité de tous les êtres humains. La
communauté éducative doit faire preuve de la plus grande vigilance et de la
plus grande fermeté à l’égard de toutes formes de racismes, d’antisémitisme,
d’homophobie et de sexisme.
Tout propos, tout
comportement qui réduit l’autre à une appartenance religieuse ou ethnique, à
une orientation sexuelle, à une apparence physique, appelle une réponse qui,
selon les cas, relève des champs pédagogique, disciplinaire, pénal ou de
plusieurs d’entre eux. L’école refuse toutes formes de discrimination et
interdit tout harcèlement discriminatoire portant atteinte à la dignité de la
personne. Il en va de même pour les propos injurieux ou diffamatoires.
L’enseignante
s’interdit tout comportement, geste ou parole qui traduirait indifférence ou
mépris à l’égard de l’élève ou de ses parents, ou qui serait susceptible de
blesser la sensibilité des enfants.
De même les
élèves, comme leurs parents ou les personnes s’exprimant en leur nom, doivent
s’interdire tout comportement, geste ou parole qui porteraient atteinte à
l’honneur de tout agent du service public ou de l’institution en tant que
telle.
Selon l’article
L141-5-1 du code de l’éducation, dans les écoles, le port de signes ou de
tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance
religieuse est interdit. Si un comportement ou une attitude, à l’encontre de ce
principe, venait à se produire, une procédure disciplinaire précédée d’un
dialogue avec l’élève et ses représentants légaux serait mise en place.
Les enseignantes
et tous agents de service public de l’éducation, quels que soient leur fonction
et leur statut, sont soumis à un strict devoir de neutralité qui leur interdit
le port de tout signe d’appartenance religieuse, même discret. Ils doivent
s’abstenir de toute attitude qui pourrait être interprétée comme une marque
d’adhésion ou au contraire comme une critique à l’égard d’une croyance
particulière.
Cette neutralité
s’exerce à l’intérieur et à l’occasion de toutes les activités placées sous la
responsabilité de l’école, y compris, celles se déroulant en dehors de
l’enceinte de l’établissement pour les enseignantes et les agents de service de
l’Education. Toutefois, il faut noter que cette loi ne concerne pas les parents
d’élèves qui peuvent ainsi encadrer une sortie scolaire (loi n°2004-228 du 15
mars 2004).
Les convictions
religieuses ne donnent pas le droit à s’opposer à un enseignement et à
l’obligation d’assiduité. S’il est autorisé de s’absenter pour les grandes
fêtes religieuses, les absences répétées ou systématiques sont interdites.
Enfin les consignes d’hygiène et de sécurité ne sauraient non plus être
aménagées pour ce motif.
2.
Attitudes et comportements scolaires
Tout châtiment
corporel est strictement interdit et illégal. Un enfant, momentanément
difficile pourra être isolé pendant un temps très court, nécessaire à lui faire
retrouver un comportement compatible avec la vie du groupe. Il ne devra à aucun
moment être laissé sans surveillance.
Quand le comportement d’un enfant perturbe
gravement et de façon durable le fonctionnement de la classe et traduit une
évidente inadaptation au milieu scolaire, la situation doit être soumise à
l’examen de l’équipe éducative (article D321-16 du code de l’éducation), à
laquelle participeront le médecin chargé du contrôle médical scolaire et/ou un
membre du réseau d’aides spécialisées. L’IEN en est informé. Les parents
peuvent être accompagnés par la personne de leur choix. A ce titre, les parents
d’élèves élus sont disponibles. .
La circulaire
n°2003-091 du 5 juin 2003 rappelle que toute personne peut s’opposer à la
reproduction de son image et que toute prise de vue nécessite l’autorisation du
titulaire de l’autorité parentale pour les mineurs.
Les parents
accompagnateurs s’engagent à ne pas diffuser de photos ou de vidéos prises
pendant les sorties scolaires.
IV. LOCAUX,
HYGIENE ET SECURITE |
1.
Utilisation des locaux
L’ensemble des
locaux est confié à la directrice, responsable de la sécurité des personnes et
des biens.
Un registre de santé et de sécurité au
travail est instauré dans chaque école. Il est accessible aux enseignants et
aux usagers, qui ont la responsabilité d’y inscrire toutes les observations et
les suggestions qu’ils jugent opportun de formuler dans les domaines de
l’hygiène, de la sécurité et des conditions de travail.
2.
Hygiène et santé des élèves
Le nettoyage des locaux est quotidien et
l’aération suffisante pour les maintenir en état de salubrité. Les enfants
sont, en outre, encouragés par leur enseignante à la pratique de l’ordre et de
l’hygiène. Dans les classes, le personnel spécialisé de statut territorial est
notamment chargé de l’assistance au personnel enseignant pour les soins
corporels à donner aux enfants. Dans le cas d’un élève négligé ou porteur de
parasite, la directrice demandera à la famille de prendre les dispositions
qu’imposent les exigences de la vie en collectivité. Les enseignantes et les
agents spécialisés de statut territorial ne sont pas autorisés à donner des médicaments
aux élèves sauf dans le cadre d’un projet d’accueil individualisé (PAI,
circulaire n°2003_135 du 08 septembre 2003, BOEN n°34 du 18 septembre 2003).
Il est demandé aux
parents de fournir un change à son enfant et de rapporter au plus vite le linge
prêté par l’école.
3.
Sécurité
La directrice est
responsable de la sécurité des personnes et des biens selon la circulaire
n°91-124 du 6 juin 1991. Ainsi différents outils de cadrage et différents
exercices sont exigés :
·
Un
registre de santé et de sécurité au travail est tenu.
·
Des
exercices de sécurité incendie ont lieu trois fois dans l’année.
·
Il
est mis en place un plan particulier de mise en sureté (PPMS). Des exercices
ont lieu deux fois par an.
·
Il
a été rédigé un document unique d’évaluation des risques (DUER) de l’école.
Un élève ne peut
quitter l’école, pendant le temps scolaire, qu’accompagné d’une personne
accréditée, sur demande écrite de ses parents. Pour un élève suivant
régulièrement des soins ou des séances de rééducation pendant le temps scolaire,
il sera demandé un justificatif de l’un des professionnels de santé, précisant
les jours et les heures pendant lesquels l’élève devra s’absenter.
En cas de maladie,
de malaise ou d’accident, les parents sont prévenus soit de la nécessité de
venir chercher l’enfant soit de la nécessité de le transporter à l’hôpital.
4.
Assurance scolaire
L’assurance
scolaire est vivement recommandée pour la participation des activités scolaires
obligatoires pour couvrir à la fois les dommages dont l’enfant serait l’auteur
(assurance de responsabilité civile) ainsi que les dommages qu’il pourrait
subir (assurance individuelle-accidents corporels).
5.
Dispositions particulières
Les objets de
valeur doivent être conservés à la maison (bijoux, argent, etc.). Tout objet
dangereux est rigoureusement interdit (objets pointus, coupants, flacons
aérosols, allumettes, briquet, etc.). Les écharpes et les foulards ne sont pas
autorisés.
L’école s’interdit
toute pratique commerciale, tout concours à une démarche commerciale, toute
vente intérieure ou extérieure hors cadre coopératif, au même titre qu’elle
s’interdit toute activité à caractère publicitaire. Seules peuvent être
organisées par l’école les collectes autorisées au niveau national par le
ministre de l’éducation. Les souscriptions, tombolas et concours peuvent être
autorisés par l’Inspectrice de l’éducation nationale, sur proposition du
directeur et avis du conseil d’école. Les fonds collectés dans le cadre des
coopératives scolaires ne peuvent être gérés que par des associations
habilitées au plan national telles que l’OCCE.
V. SURVEILLANCE |
1.
Dispositions générales
La surveillance
des élèves durant les heures d’activité scolaire est continue et leur sécurité
est constamment assurée, en tenant compte de l’état et de la configuration des
locaux, du matériel scolaire et de la nature des activités proposées.
2.
Accueils et récréations
L’accueil des
élèves est assuré dix minutes avant l’entrée en classe. La directrice arrête
l’organisation de l’accueil et de la surveillance des élèves, après avis du
conseil des maîtres.
Dans la cour de
récréation, la surveillance s’effectue de manière effective et vigilante.
La sortie des
élèves s’effectue sous la surveillance des enseignantes. Cette surveillance
s’effectue jusqu’au transfert de responsabilité de l’un des responsables,
chargé de venir chercher l’enfant ou d’un des services de mairie, à la fin du
temps scolaire. Toute personne venant chercher un enfant
est soit les parents ayant autorités parentales soit une personne nommément
désignée par eux et par écrit. Celle-ci devra présenter une pièce d’identité.
En cas d’impossibilité, il conviendra de se référer aux dispositions
départementales de protection de l’enfance.
3.
Intervenants durant le temps scolaire
Les ATSEM, les
auxiliaires de vie scolaire, les intervenants extérieurs (animateurs,
moniteurs, parents d’élèves, etc.) sont des personnes qui peuvent intervenir
durant le temps scolaire. Certaines formes d’organisation pédagogique
nécessitent la répartition des élèves en plusieurs groupes, rendant impossible
une surveillance unique. Dans ces conditions, l’enseignante reste responsable
du projet pédagogique et de sa mise en œuvre.
6. CONCERTATION ENTRE LES FAMILLES ET LES
ENSEIGNANTS |
La directrice
réunit les parents de l’école dans les premiers jours suivant la rentrée et
autant que de besoin, selon les dispositions des circulaires n°2006-137 du 25
août 2006 relative au rôle et à la place
des parents dans l’école et n°2013-142 du 15 octobre 2013 relative aux relations école parents..
Les parents sont
informés des progrès dans tous les domaines d’apprentissage et du comportement
de leur enfant, grâce à la rencontre des enseignantes programmés deux fois dans
l’année et sur prise de rendez-vous.
Des espaces
d’affichage à l’extérieur et à l’intérieur de l’école informent les parents du
menu de la semaine, des horaires de l’école ainsi que des évènements concernant
la vie de l’école. Des espaces d’affichage pédagogique sont réservés à l’entrée
de chaque classe afin que les parents soient informés quotidiennement.
La tâche de
l’enseignant trouve sa pleine réussite grâce à la confiance que lui accordent
les parents. Un dialogue réel, constructif entre les familles et les
professeurs permet une meilleure connaissance de l’enfant et contribue, au
mieux, à l’épanouissement de sa personne, tant à l’école que dans son cadre
familial. Il est donc préférable de vous adresser, dans un premier temps, à
l’enseignant de votre enfant, puis à la directrice en cas de nécessité. Les
enseignants reçoivent les parents sur rendez-vous. Ces rencontres ne
peuvent, en aucun cas, avoir lieu aux heures de classe ni au moment
précis des entrées et des sorties des élèves. En définitif, les familles
s’engagent à être solidaires des décisions prises par l’équipe pédagogique pour
garantir une cohérence éducative.
7. Dispositions finales |
Ce règlement
d’intérieur de l’école maternelle Le Cordouan est établi par le conseil d’école
en conformité avec les dispositions du règlement départemental.
Il est approuvé
lors de la première réunion du conseil d’école. Il sera approuvé ou modifié,
lors de la prochaine année scolaire 2019-2020, à l’occasion de la première
réunion du conseil d’école.
Un exemplaire est
transmis à Madame l’Inspectrice de l’éducation nationale qui peut saisir le
directeur académique en cas de non-conformité.
Monsieur et Madame
______________________________________________ , parents de
_________________________________
Déclarent avoir
pris connaissance du règlement intérieur et en accepter les dispositions.
A Saint-Denis le _____________________________ Si